L’extension du bourg s’effectuant naturellement vers le sud, des aménagements se réalisèrent à partir des années 1850.

Cette camionnette remplace la charrette (voir photo QUINCAILLERIE DOUX MICHAUD) pour la tournée.

En 1921, on retrouve le magasin de Jules DOUX installé en face du Champ de foire. Jules, son épouse et leurs deux enfants, un garçon André et une fille Marguerite, occupent les lieux.

Par la suite, André DOUX dit « Dédé » prendra la succession de ses parents. On trouvait vraiment de tout dans ce magasin qui fut un temps épicerie, devint définitivement une quincaillerie. La quincaillerie de M. André DOUX, fils de Jules, était une véritable caverne d’Ali Baba, aménagée en véritable fouillis. Certaines personnes du coin l’appelaient les « Galeries La doucette ». Il n’était pas rare de rentrer pour saluer «le père DOUX» et de sortir en ayant acheté quelque chose. Des tiroirs plein les murs. De l’électro-ménager, par exemple le four d’une gazinière pouvait pour un temps être un lieu de rangement. Des objets, des ustensiles les plus divers suspendus aux poutres du plafond. A l’entrée, un minuscule comptoir rempli de papiers. André DOUX utilisait le mur du champ de foire lorsqu’il devait découper une longueur de grillage qu’un client lui commandait. A la saison des vendanges ou trouvait tous les produits et ustensiles utiles pour élaborer le vin.